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plus longue, je la finiray par mes très humbles
qu’il disoit estre occasion que Don Jehan d’Austria ne voloit partir de Messine
qui est en pur don.
Monsegneur, je prie Dieu qui vous conserve en très longue et
[marge gauche :] Je ne scay pas que je pourray faire à la plus value des ducatz de Brianson. Monseigneur le prince daulphin l’a voulu demander mais il s’en est desisté pour le solagement de ceulx du pays. Telle recherche ne se doibt faire par mon moyen, mais la debvrois plustost empecher. Monsieur de La Roche doibt partir le VIe avec monsieur de Bonevaulx. Monsieur d’Évènes et monsieur de Laval et Gargas se portent bien. Monsieur Le Febvre dict que vous a escrit et envoyé argent. On ne parle plus du voyage de Monsegnieur le prince.
So. de Boczosel
mon nepveu. Son de plus luy et ses compagnons sont,
[180 v°] estre requis ; ses remonstrances en plusieurs
tenir garnison ce quartier, comme sont celles de messieurs
à son logis pour les luy faire tenir. Je ne scay pas
que de ceste pieté est en partie procedé le bon heur de votre maison lequel
memoyres et doleances des habitans dudit Brianssonnoys, de quoy jey
resantiment de fiebvre et despuis autre
tousiours ce que dites de la grandeur de votre meyson et de la valeur de ceulx
donnerés à dire à monsieur de La Roche
actendu quilz ne se dispensent daulcune taxe pour ce que concerne
tousiors très humblement à vous bones graces. De St Germein, ce
recommandacions à votre bonne grâce et à cele de madame
sans voir lèvement desdites affaires de Flandres, disant aussi ledit ambassadeur
Ce matin, le roy est allé en Brye courir le cerf,
heureuse vie. De Paris, ce XIIIIe aoust 1572.
Dieu grâces, en bonne santé.
aultres furent faictes en ladite assemblée, mais
de Suze et de Maugiron.
si on la faict comme lon ma promis des amis,
je nestime pas petit encor que vous ayés mené jusques icy une vie assés [travaillée]
dressé articles et requeste que jay mis par escrit et remis à monsieur
accès de quarte. Dans deux jours lons verra
qui en sont sortis, et vous prie nestres en oppinion quon laye autre =
que jay receu sa depeche où estoint
la guerre sans votre commandement. Je pense avoir en cela grande
XVIII janvier 1574.
de Gordes, de messieurs voz enfants. Je prie le
que toute l’armée de la Ligue porroit rebrosser chemyn contre Prouvence, le
la royne à Monceaux, attendre madame
Votre très humble serviteur.
Il est bien certein que l’ons
lesdits sieurs de Grenoble, de Sassonaige, de
quest tout ce que je vous puis escripre, après avoir
encor qu’une bone partie desdits sieurs vos frères soyent morts assés jeunes, encor que
de Lymoges avec la plus grande diligence qui ma esté possible.
que ce sera. Atandant ce jour, il fait bonne chère au lit et espère en Dieu
[144 v°] = et mesmes moy qui vous ay tousiours aymé, estimé et
deux blancs signés siens et que
raison et croy quil ny a comptable que se volust charger dune
Je suis en peine de ce que monsieur le cardinal de Ferrare n’est icy.
Créateur vous donner
pape respondit qu’il ne délibéroit pas fournir plus argent qui est que ledit
la duchesse de Lorrayne. La nouvelle est
So. De boczosel
n’aura guières ou de tout point
La Baulme et aultres ny heurent aulcung
prié le Createur
les vertus et merites de tant que vous estes n’ayent encor esté si bien recogneues
Jey grand regret ne les avoyr eu plustost, car jay grand peur quil
que ce ne sera rien.
honnoré et ce qui vous appartient, et le recognoistrés ainssi
je feray mon poussible pour ses affaires.
si grande comptabilité quil nen tirast sallaire, mesmes quil
Il est à XVIII liues [barré : dicy] à une siene habéie. Lons ma
Monsieur, avec les siennes tressantes, très bonne et
d’Austria ne voloit rien exécuté pour la chrestienté et que pour sont regard, il
venue de la part du gouverneur de Guyse que
Jay parlé encor ce jourd’huy à la royne la plus contente
besoing de grans chevaux à La
esgard, aymarent mieulx mectre toutte la
monsegneur vous avoir en sa garde, de Grenoble, ce Vie
comme il appartenoit ; mais je repute ledit bon heur en , [, ce] que vous avés esté et estes
ny aye beaucop de poyne et longueur de les fayre voyr et respondre.
Votre à jamais très humble
quant les occasions se presenteront et que jen auray le moyen.
Votre à jamais plus humble et
nest jusques icy advenu aulcun desordre par ma faulte et sil
assuré quil y sera en bref. Monsieur de Montmorancy arriva
longue vye. De La Coste, ce XIIe de julhet 1572
ne permettroit que l’armée de la Ligue feist guerre contre aulcun prince chrestien
le sieur de Jenlis et sa trouppe ont esté mis en
du monde d’ouyr touttes choses qui se passent et que se
Rochelle, s’ils n’hont secours que d’Angleterre ausy
charge sur le pouvre tiers estat et nonobstant
sepbre 1571.Votre humble et obeyssant serviteur
tous reputés de singulière prudhomie de pareille sagesse et valeur sans quil
Jay receu aussi celles de Gap, tant de la part de monsieur levesque,
et très obeyssant frère
plus obeissant frère
vous plaisoit accompaigner votre renvoy dune votre lettre ausdits sieurs
icy le jour mesmes que y arrivay et feut bien aise de scavoir
Votre très humble cousin et affectionné
ny ses deniers employez pour ce faict. Voilà ce que j’en ay peu apprendre
pièces en lieu nommé Bossu, à trois lieues de
disent pourveu qu’on ne demande poinct d’assignation.
que des gens font estat y en amener oultre que mal eysément les y
icelle, ledit sieur de Grenoble selon son intention,
Jehan de brunel
y aye jamais eu que tout honneur en toute votre maison et tous ceux qui sont
que de monsieur le vibailli et des consulz, mays je ny ay trové chose
De Simienne
de simienne
commis, vous augmenterez lobligation que jay à votre service.
de vous nouvelles. Monsieur de Thoré y est aussi.
serviteur
d’aulcune des nations de ceste ville. Le roy de Navarre arriva le IXe
Mons et de six lieues de Valenciennes. On tient
Monsieur de La Roche, lieutenant de monseigneur le prince
nourrir tous à XII lieues où tout est mangé.
les consulz absentz, fist le despartement
Je vous envoye
morts, estans tous morts en si bons lieux et si vaillamment que leurs vies ne si
aucune particulière et qui ne soyt comprinse en mon cayer general et
Monseigneur, je presente mes très humbles recommandations à votre bonne grace
Votre pour jamais très humble
de La Coste
de ce moys à Paris avec messieurs les princes et grand nombre de noblesse.
que cela est pour toujours retenir le roy de ne
daulphin, m’a, longtemps y a, prié vous presenter
de ladite somme de XL m lz [barré : prins sa cotte]
une onche soye
pourroyent jamais estimer avoir esté courtes. Pour votre particulier, il m’a
en celuy general du clergé.
[trois lignes en travers à gauche du folio]
et prie Dieu vous donner en très bonne santé très longue
et très obeissant frère
Monsieur, jescry de par monsieur le conseilher d’Ayme qui a couché icy et va ce matin
Il rentra dans la ville au milieu de Monsieur et de monsieur le duc,
se précipiter poinct en celle querelle. Mais la novelle est véritable.
ses humbles recommandations et qu’il vous supplie
sur lesdites neufz villes, pressant non seullement
verde que ma
tousiours semblé que Dieu vous a faict entre aultres deux graces fort speciales :
Le XXe, messieurs le chancelier et Morvilier vuydarent de rechef
[ Le roy aiant ces jours passez faict appellé tous les gouverneurs des provinces et deputés pour icelles
[214] et heureuse vye. A Grenoble, ce XIIIme fevrier 1574.
de Simienne.
doner le bon jour en passant à madame de Caseneuve et monsieur d’Apt pour
estant habillé tout de noir et un chapperon derière l’espaule, comme nous
Nous n’avons pas heu voz lettres du IXe et néantmoins,
luy donner ung oyseau quand il sera par-delà,
ladite ville de Vienne, mais aussy en ce que il
cousté XIII s[ols]
l’une est de vous avoir baillé une lignée aussi belle et d’aussi bone esperance
larrest pour la blanque de Peccaix, les quelz en avoyent prins la
estans [ici, declarat] quil avoit esleu Monseigneur le duc pour, après luy, entendre à ses affaires,
Sil vous plaisoit descrire audit sieur